Est-ce parce qu’il est affublé d’un prénom improbable à la limite du ridicule et d’un téléphone portable défectueux – quand ce n’est pas la sonnerie qui déraille, c’est la batterie qui est à plat – que le héros de Jonathan Ames semble d’un autre temps et hors connexion, tout droit sorti des années quarante et cinquante plutôt que […]
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