Aux lendemains de la Libération, Saint-Germain-des-Prés était une fête. Pour les habitués du Café de Flore et des Deux Magots, où se réunissaient une certaine intelligentsia et ses fidèles sous l’emprise de l’existentialisme, la chose est entendue. La jeunesse éprise d’idées (surréalistes, zazous, philosophes) était loin d’être la seule à en avoir fait son quartier […]
Cet article Philippe Jaenada dans le tamis du temps écrit par Olivier Cariguel est apparu en premier sur Revue Des Deux Mondes.